Triste souvenir j'imagine.
Dans un registre plus joyeux, il y a une dizaine d'années j'ai pu serrer la main de René Arnoux. Il avait des parts dans une usine en suisse qui envisageait d'acheter de nouvelles machines, il était venu visiter l'entreprise où je travaillais qui utilisait les mêmes machines pour se renseigner.
Nous avions pu discuter un peu, un collègue lui avait dit qu'il l'avait vu courir (et gagner je crois) sur je ne sais plus quel grand prix. Un homme charmant, il nous disait qu'en qualif les moteurs turbo pouvaient donner plu de 1200 chevaux.
J'avais posé la question du lag sur les premières f1 turbo, il m'avait confié qu'au début entre le moment où il mettait pied dedans et où les chevaux arrivaient il pouvait y avoir 1,5 à 2 secondes
Je n'envie pas ces héros de l'époque, rien que de les regarder maîtriser ces missiles dans certains virages ça me fait peur.