C'est l'intention qui compte C'est facile l'italien pour un français normalement, même si on construit pas vraiment les phrases de la même façon, le plus dur pour un français étant certainement le congiuntivo (subjonctif)
F1 - Le paddock de la F1
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ou l'utilisation des mains.
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Le plus difficile pour un français, c'est d'apprendre le gestuel des mains qui va avec la langue
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C'est pas difficile, leçon numéro une :
Capito?
On se retrouve la semaine prochaine pour la leçon numéro 2
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Base Latine donc facile oui... non Latine c'est dans le sud-ouest, chez nous c'est Latin
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Non cela ira j'ai connu une italienne quand j'étais jeune et je suis dans le bâtiment donc les insultes je les connais dans beaucoup de langues.
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"porco dio" pou "diocane" comme le disent les spécialistes du bâtiment
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Vous voyez ça rentre vite
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ou l'utilisation des mains.
Surtout pour les montres quand on laisse dépasser son bras à la portière au feu rouge !
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Vous voyez ça rentre vite
Ca je sais, c'est une citation de Rocco !
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Ça rentre vite et profondément
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Vasseur a fait sa conférence de fin d'année, seul truc retenu par la presse italienne : Ce con parle toujours pas italien
Un autre exemple de l'importance de parler italien quand on y vit/travail (ouais, les italiens détestent parler autre chose que leurs langue, comme vous quoi ), un petit article de Leo Turrini sur Schumi :
Dix ans sans Schumi.
Je me souviens très bien du désarroi qui m'a envahi fin décembre 2013, lorsque la nouvelle du terrible accident sur la neige est arrivée.
La première pensée a été celle qui est commune à tant de gens. Ma mère l'a tout de suite exprimée : une carrière passée au service du risque et puis....
Et puis...
J'ai vite compris que les perspectives, pour l'homme Michael, étaient cruellement réduites, voire nulles.
Tout le reste, c'est le silence. Le malaise muet de ceux qui assistent de loin à une tragédie indéfinie, presque sans fin.
J'ai parfois parlé à ceux qui, au cours de ces trois mille jours et plus d'angoisse, ont vu.
Je me suis toujours arrêté au seuil de l'indicible. Et je me suis fermement imposé et je m'impose un respect absolu et inconditionnel du choix du secret fait par Corinna et ses enfants.
En cette ère d'idiotie sociale, c'est une leçon.
Pour tout le monde.
J'ai suivi la carrière de Schumacher de Spa 91 à Interlagos 2012. J'ai toujours été présent. J'ai été ému, en tant que Ferrariste, par ses exploits. Je n'ai pas caché ses excès et ses erreurs. C'était un champion au volant, mais ce n'était pas un saint.
Parce que le personnage n'autorisait légitimement pas les confidences à ceux qui n'appartenaient pas à son cercle intime (ingénieurs, mécaniciens, bien sûr la famille), je n'ai jamais raconté Michael en termes, disons, personnels. Je ne me le permets pas.
Il y a cependant un épisode que je porte dans mon cœur et qui m'a permis d'entrevoir le mystère d'une âme.
Printemps 2004 :
Historiquement, c'est la meilleure saison de Ferrari en F1.
La municipalité de Fiorano m'a invité à diriger une cérémonie publique : Todt, Barrichello et Schumi recevaient la citoyenneté d'honneur.
Il y avait une frénésie de gens. Des enfants, des grands-mères, des ouvriers etc...
Tout le monde.
Avant de monter sur scène, le Pingouin de France (Todt), avec une férocité rituelle, m'a pris à part :
"Turrini, tu sais que Schumi n'aime pas parler italien en public, alors ne me casse pas les couilles et interviewe-le en anglais, merci, et ne m'énerve pas comme à ton habitude".
Très gentil, comme d'habitude.
Nous sommes donc sur scène et, obéissant au sosie d'Alvaro Vitali, je m'adresse à Michael dans la langue de Churchill.
Première question très banale : "après tant d'années passées ici, qu'est-ce que tu aimes dans ce pays, à part Ferrari ?"
- "E non lo so che cosa è accaduto. Non l’ho mai capito, sul serio." (Je ne sais pas. Je ne l'ai jamais compris, pour tout dire.)
Devant tous ces gens, Michael Schumacher a répondu en italien. Il a parlé de cuisine, de football, de voitures etc...
Dans la langue de Dante.
Tout le monde a été surpris.
C'est le plus beau souvenir que j'ai de lui.
Leo Turrini.
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Parler l'italien personne ne parle l'italien en italie. Ceux de Naples parlent le napolitain, ceux de Rome, le romain etc, etc...
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C'était vrai jusqu'à ce qu'un certain Dante Alighieri se mette à écrire en Italien Mais oui, les expressions sont toujours différentes selon les régions
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Le fréro Leclerc qui se fait dégager de la FDA, il était presque temps...
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Je ne connaissais pas cet entretien , et bien on y apprend pas mal de choses
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Sauber clarifie son nouveau nom et s'efface pour devenir Stake !Sauber a précisé son nouveau nom d'usage pour les deux prochaines saisons, avec le choix de Stake F1 Team.fr.motorsport.com
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Haché, bien cuit, tendre ?
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Haché, car Sauber a choisi de masquer son nom, comme le steak caché !
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il vient un peu tard tard ce nom
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